Les sujets que nous n’aborderons pas.
Ce programme n’a pas abordé tous les sujets possibles.
Avant tout, le Libertarisme est une doctrine qui vise à défendre la liberté de l’individu et à diminuer l’interventionnisme de l’État. Ainsi, beaucoup de sujets ne sont pas abordés parce que ce n’est pas le rôle de l’État de répondre sur ces sujets.
Que ce soit le réchauffement climatique, la défense des homosexuels ou le rôle des femmes dans la société … la liste est sans fin et les avis divergent sur les solutions à apporter et parfois sur la façon de poser le problème.
Il ne revient pas à l’État d’imposer aux individus une manière d’être ou de penser. Il y a une discrimination à l’embauche ? pourquoi voulez-vous imposer à un employeur d’embaucher quelqu’un qu’il n’aime pas ? Même pour une raison personnelle. Pourquoi devrait-on avoir 50% de femmes ici, ou là si des hommes sont plus compétents à ces postes ? L’État n’a pas non plus à subventionner des évènements parce qu’ils représentent une minorité, fût-elle sexuelle.
Il ne revient pas non plus à l’État d’intervenir dans le cadre d’un contrat entre deux parties. Tant que les deux parties y trouvent leur intérêt, l’État n’aura pas son mot à dire et il ne l’aura pas.
D’autres sujets méritent une réflexion approfondie et devront faire l’objet d’un référendum ou les citoyens pourront s’exprimer. C’est le cas de la peine de mort et des crimes aux quels elle répond par exemple.
Mais attention, tous les sujets ne pourront pas être traité par la voie du référendum. Voter ce programme, c’est déjà donner un mandat pour le réaliser et il ne serait être question de remettre en cause ses fondements. Le rôle de l’État, ses domaines d’interventions, les devoirs Régaliens sont des sujets qui ne doivent être touchés qu’avec la plus extrême prudence.