L’immigration et le contrôle des frontières.

La France appartient avant tout aux Français. C’est `a dire aux gens qui sont nés sur le territoire ou, au moins, d’un parent Français. En dehors d’une, au moins, de ces deux conditions, personne ne pourra plus se revendiquer d’avoir la nationalité Française.

Un étranger pourra être résident Français, ses enfants, s’ils naissent sur le territoire, auront la nationalité Française. Mais lui ne pourra pas obtenir la nationalité Française sous aucun prétexte. Il pourra payer des impôts s’il le désire, il n’en sera pas plus Citoyen pour autant et n’aura aucun des droits réservés à ces derniers.

La possibilité de naturalisation d’un étranger ne sera plus possible.

Un enfant né en France de parents étrangers obtiendra directement la nationalité Française. Mais il lui sera interdit de s’engager en politique s’il n’a pas renoncé d’abord à toute autre nationalité. L’engagement en politique ne sera pas ouvert aux bi-nationaux.

Pourront vivre en France de façon permanente les Français de nationalité et les étrangers qui ont acquis un visa de long séjour. En dehors de ces deux cas, aucun individu ne pourra s’installer en France pour une durée supérieure à trois mois.

Tout ressortissant étranger pris sur le territoire alors qu’il aura dépassé la durée de son visa sera détenu, recevra une amende et devra payer et organiser son extradition. Il recevra également une interdiction temporaire de présence sur le territoire. Dans le cas ou il ne serait pas en mesure de payer pour sa propre extradition, ou de régler son amende, ce serait une faute pénal entraînant une sanction. Il serait ensuite extradé aux frais de l’état avec une interdiction définitive de revenir sur le territoire (violer cette interdiction sera une faute pénale considérée comme une récidive avec de lourdes sanctions).

Cette procédure vaut également pour les mineurs de plus de quinze ans, à l’exception des sanctions pénales qui ne s’appliqueront pas dans ce cas précis. Les mineurs de moins de quinze ans ne pourront être extradés qu’après s’être assuré qu’ils ont une famille d’accueil dans leur pays d’origine.

Tout étranger présent en France de façon régulière aura le droit de travailler pendant la durée de son séjour sans qu’aucune démarche administrative particulière ne soit requise.

Il n’existera qu’un seul type de visa de long séjour: celui qui autorise à un étranger à rester sur le territoire pour une durée supérieure à trois mois. Tout le monde pourra en faire la demande, y compris les apatrides (posséder un passeport ne sera pas un requis dans ce cas précis).

Un apatride résident permanent régulier ou un résident permanent étranger régulier depuis plus de trois ans pourront faire une demande afin de se voir attribuer un passeport Français. Ce passeport ne sera, en aucun cas, une reconnaissance de la nationalité Française, mais un document de voyage.

Le visa long séjour sera accordé sans condition particulière et gratuitement pour tous les membres directs de la famille d’un résident permanent de nationalité Française.

Ce visa sera accordé contre paiement dans tous les autres cas. Le montant du paiement à régler pourra changer en fonction de l’âge, de la situation professionnelle, du pays d’origine, de la profession et des revenus connus du demandeur.

Les visas de court séjour permettront de rester sur le territoire pour une durée maximum de 90 jours par an. Cette durée pourra être réduite selon le pays d’origine du demandeur. Selon le pays d’origine du demandeur, ce visa pourra être accordé à l’avance depuis un consulat local, par la police des frontière à l’arrivé sur le territoire, dans une mairie, une préfecture ou une gendarmerie.